Pour qu'un ancien combattant ait droit à une demi-part supplémentaire, il doit avoir plus de 74 ans. Quant à sa veuve, elle ne pourra la toucher que si son mari en a été bénéficiaire pendant au moins un an. C'est une mesure profondément injuste, et nous proposons donc d'abaisser l'âge d'ouverture du droit à cette demi-part.