Aujourd'hui, les sceptiques spéculent encore sur le devenir de notre ambition, soulevant la question de la sanction qui doit être envisagée pour celles et ceux qui refuseraient de servir : c'est qu'ils ne comprennent pas l'essentiel. L'essentiel est que nous en sommes à la construction de ce projet, une construction née d'une page blanche et qui, montant en puissance en s'appuyant sur les retours d'expérience des phases pilotes, a vocation à rendre le SNU si valorisant, si attractif, si pertinent et si utile aux yeux des jeunes, qu'aucun d'entre eux ne puisse imaginer un seul instant ne pas le faire.
Ces phases pilotes ne sont pas des expérimentations, car on ne saurait envisager de revenir en arrière. Nous sommes en marche, en avant toute !
Monsieur le secrétaire d'État, pour continuer à construire, avec nos jeunes et pour nos jeunes, notre avenir commun, le futur de la nation, comment comptez-vous améliorer ce projet qui doit être, pour nous tous, une ardente obligation de tous les jours ?