Comme vous l'avez précisé dans votre question, il y a deux types de prisonniers, correspondant à deux situations différentes.
Première catégorie : les Français qui ont rejoint Daech et qui sont prisonniers dans le nord-est syrien et détenus par les forces kurdes. Conformément au principe énoncé par la France, nous souhaitons que ces prisonniers puissent être jugés au plus près du lieu où ils ont commis leurs actes criminels. Nous ne souhaitons pas leur rapatriement dans la mesure où il est possible, comme c'est le cas en Irak, de les appréhender et de les juger sur place.