Monsieur le ministre, j'avoue rester quelque peu sur ma faim. Il y a deux ans, les paroles fortes que vous avez tenues sur la candidature de la France ont été entendues à l'international mais aussi, ô combien, par les élus normands. J'en prends pour témoin M. Christophe Blanchet, député de la circonscription de Deauville, particulièrement concerné par cette candidature. J'ose espérer que nous pourrons compter sur votre soutien, comme sur celui du Gouvernement et du Président de la République, pour la mener à bien.