Les habitants ne supportent pas l'inaction face à des dégradations ou des débordements. Avant d'ordonner une fermeture, le maire est passé voir le propriétaire, la police également. Quand on ferme, c'est qu'il n'y a pas d'autre solution : le dialogue a déjà eu lieu. En revanche, comme le disait le ministre, quand il y a des problèmes de règlements de comptes entre bandes autour d'un débit de boissons, l'arrêté de fermeture doit être pris avant qu'un crime soit commis, sans quoi cela peut finir avec des morts. J'ai connu des cas où l'on savait qu'il pouvait y avoir des descentes dans un débit de boissons et qu'il valait mieux le faire fermer au plus vite.