Nous connaissons les contraintes européennes et nous nous y soumettrons s'il le faut. J'observe toutefois que nous sommes en voie de normalisation – je pense au tabac, ou aux offensives de l'autre jour sur la viticulture ou le programme exceptionnel d'investissement… – si bien que nous sommes désormais en position défensive.
Je connais le sens de la justice du rapporteur général. Lorsque nous proposons une dépense, nous devons la gager. Il faut donc aussi raisonner à l'inverse : si la Corse doit être pénalisée par la normalisation européenne, il conviendra de compenser ce handicap.