Nous partageons bien entendu les préoccupations des sapeurs-pompiers et nous appuyons le constat de M. Roussel : les finances des départements sont victimes d'un effet ciseaux qui ne leur laisse pas les moyens d'augmenter la prime de feu. Je suis toutefois d'accord avec M. Giraud pour dire que ce n'est pas aux assurés d'en supporter les frais. Je regrette profondément que les dépenses de l'État augmentent au rythme que nous connaissons actuellement, ce qui l'empêche d'apporter aux sapeurs-pompiers le soutien dont ils ont besoin.