Je n'ai pas entendu d'autres propositions mais nous en reparlerons.
Une deuxième solution consiste à procrastiner : puisqu'il manque 200 millions d'euros, la SGP creuse sa dette ou retarde les investissements. C'est un choix sur lequel le Parlement se prononcera dans quelques instants.
Nous avons choisi la troisième solution qui s'inspire des recommandations diverses de M. Carrez. Pour rappel, nombre d'entre vous se sont opposés aux taxes ou ils n'y étaient favorables que si elles n'étaient pas appliquées chez eux. L'an dernier, vous avez voté de façon quasi unanime le plafonnement de la dette de la Société du Grand Paris.