Par exemple, vous pourriez proposer qu'à périmètre constant, l'ensemble des taxes hippiques perçues par l'hippodrome de Maisons-Laffitte, qui s'apprête à fermer – et je rends ici hommage à Jacques Myard pour son travail – , soit redistribué aux hippodromes de taille inférieure. Une autre piste envisageable serait de modifier le plafonnement de la taxe ; cela ne ferait ni perdants ni gagnants.
Enfin, je répète que certaines collectivités se sont endettées pour investir dans leur champ de courses. Elles ont fondé leurs calculs sur le taux de redevance fixé. Or c'est la troisième fois que vous modifiez cette redevance ; l'instabilité chronique est dangereuse pour l'économie du secteur.