… et je regrette qu'ils applaudissent.
Ceux qui ont pris le temps de l'étudier le savent : c'est la sélection des chevaux qui fait la qualité de la filière française, dont dépendent plus de 60 000 emplois ; c'est parce que nous avons encore des éleveurs que nous pouvons faire face à la concurrence du Royaume-Uni. Moi aussi, je veux protéger les petits hippodromes et leur logique territoriale. J'ai même contribué à éviter la fermeture de beaucoup d'entre eux. Mais ce serait une erreur fondamentale que d'affaiblir au passage l'excellence française.