L'année dernière, nous avions voté un relèvement du crédit d'impôt consenti aux oeuvres qui utilisent beaucoup d'effets visuels, aussi appelés « effets spéciaux ». Ces effets sont prisés du public, en France et dans le monde, et notre pays, grâce à ses talents, écoles ou entreprises, a la capacité d'en augmenter la production.
La compétition, cependant, est rude, et certains pays ont relevé leur crédit d'impôt en ce domaine. Le contexte du Brexit nous offre toutefois la possibilité d'attirer de nombreuses productions ; d'où la mesure que nous avions adoptée l'an dernier.
La Commission européenne avait néanmoins jugé indispensable de préciser les conditions d'application de ce crédit d'impôt destiné à renforcer notre compétitivité, en vue d'exporter davantage de nos productions à l'étranger.