Nous avons besoin d'une France qui s'engage, qui fournit l'effort nécessaire, quelle que soit la forme de l'engagement.
C'est pourquoi les présents amendements – le mien et ceux de Naïma Moutchou, d'Aurore Bergé et de Fabrice Brun – ne touchent pas au mécénat de compétence. Ils visent exclusivement à supprimer le plafond de 2 millions d'euros, limitant ainsi la portée de l'article 50. Je vous appelle vivement à les voter.
La franchise de 10 000 euros a été votée l'année dernière à l'issue d'un travail qui avait commencé dès le début de la législature et dont nous sommes très fiers. Loin de s'opposer, les différentes formes de mécénat s'ajoutent, monsieur le secrétaire d'État. Une France qui s'engage, c'est une France qui rayonne et laisse la place à tous les acteurs.