C'est un amendement de repli par rapport aux amendements de suppression. J'en profite pour rebondir sur les propos de Mme Moutchou, qui citait l'exemple d'entreprises qui choisissaient déjà de cesser leur activité de mécénat, alors même que les sommes prises en compte n'atteignaient pas le plafond de 2 millions d'euros. C'est dire l'effet psychologique d'une décision comme celle-ci ; il est d'autant plus fort qu'en tant que candidat, Emmanuel Macron avait promis de ne pas toucher au mécénat.
Cette mesure met en cause la crédibilité de la parole politique.