Le prêt à taux zéro doit être conservé dans sa forme actuelle, ne serait-ce qu'en raison de son faible coût. Nous devrons toutefois nous interroger sur l'intérêt du PTZ dans les périodes où les taux sont durablement négatifs ou très bas : le dispositif présente alors un intérêt marginal moindre, ce qui le rend moins incitatif. Le rapport d'évaluation du PTZ remis récemment par l'IGF – inspection générale des finances – et le CGEDD – conseil général de l'environnement et du développement durable – ne répond pas totalement à cette question, mais nous devrons nous la poser.