En complément des propos de Mme Verdier-Jouclas, je veux souligner que le bio se développe en France, où il occupe désormais près d'un hectare sur dix, et que le versement des aides à la conversion se fait avec moins de retard, même si les délais restent encore trop longs. Le présent amendement vise lui aussi à soutenir la certification environnementale par le biais d'un crédit d'impôt pour les exploitations agricoles qui s'engagent dans la démarche HVE 3 – qui, en tant que label officiel promu par le ministère de l'agriculture, mérite quelques moyens d'accompagnement de l'État.