Je suis très ennuyée parce que j'ai présenté ces deux amendements pour le compte de leur premier signataire, Dominique Potier, que je ne parviens pas à joindre. Je ne peux donc pas les retirer, même si j'ai bien entendu le rapporteur général et la secrétaire d'État. Je me serais volontiers ralliée à l'amendement no 1960 de Mme Verdier-Jouclas, le plus raisonnable en matière de dépenses fiscales et dont l'adoption aurait permis d'éviter les effets d'aubaine puisqu'il ne concernait que les exploitations agricoles de moins de 11 salariés. Je trouve donc dommage qu'il ait été retiré comme tous les autres amendements de la série.