Madame la secrétaire d'État, je ne doute pas que vous ayez plaidé à Bruxelles, mais je vous rappelle que la Corse demande une clause d'insularité, et qu'elle est une île-montagne. Il y a donc, hélas ! de sérieux arguments à faire valoir auprès de l'Union européenne.
Le FIP Corse ne dessert nullement les autres régions : il est censé constituer un moyen parmi d'autres pour dynamiser notre développement. Je crois qu'il faut utiliser cela pour négocier. Il faut que Bruxelles prenne conscience des réalités de la Corse et de l'impérative nécessité de développer cette île.