Tout d'abord, je fais remarquer à la représentation nationale que le Gouvernement n'a toujours pas répondu concernant la situation au Yémen.
Chers collègues, contrairement à ce que vient de dire M. Cellier, en adoptant les précédents amendements, vous venez de voter le rétablissement des garanties de l'État en faveur de la prolongation de l'activité des centrales à charbon.
J'en viens à mon sous-amendement. La participation du ministère chargé de l'environnement et de l'énergie à la commission interministérielle qui supervise les garanties à l'export ne saurait se limiter à l'examen des projets qui auraient un effet négatif. En effet, au XXIe siècle, tous les projets à l'échelle internationale ont une dimension géostratégique, liée au climat, au vivant, à l'urgence écologique à laquelle nous sommes confrontés.