Mme Autain a utilisé exactement le même argument que vous lors de l'examen des crédits de l'aide publique au développement, monsieur Coquerel. Vous faites une confusion : la contribution française au fonds vert n'est pas destinée à la France elle-même, mais aux pays en voie de développement. Rien à voir, donc, avec l'argent qui, par comparaison, peut être investi dans les énergies fossiles. Le fonds vert, en un mot, c'est l'argent donné par les pays riches aux pays les plus pauvres.