C'est encore une vaste question, qui, d'une certaine manière, fait écho à la précédente. En évoquant la jeunesse, vous exprimez l'idée d'utiliser ce chantier pour rénover les métiers d'art en France. Vous posez plus spécifiquement la question des chercheurs.
Le CNRS nous a écrit. Vous le savez, le ministère de la culture dispose du Laboratoire de recherche des monuments historiques. Cette structure réputée est à la pointe de la technologie dans ses recherches, mais ses effectifs et capacités ne sont pas surabondants.
Dans la conduite du chantier, il faudra être capable – moi, le premier – de ne pas passer à côté de ce qui pourrait nous aider à faire mieux, de manière plus rigoureuse. C'est la raison pour laquelle, avec mes gens – mes effectifs sont assez réduits, pour le moment –, je suis très attentif à ce que nous recensions toutes les propositions qui nous sont faites. Cela rejoint aussi la question du mécénat d'entreprise.