Général, vous avez rappelé que l'objectif du nouvel établissement public est de conduire et de coordonner les études et les travaux concourant à la restauration de la cathédrale.
L'incendie de Notre-Dame a mobilisé l'ensemble du peuple français et l'on attend de sa restauration qu'elle mobilise également des entreprises françaises installées dans l'ensemble du pays. La Dordogne, qui est un territoire au riche patrimoine, compte plusieurs entreprises disposant de savoir-faire d'excellence, comme la SOCRA, en charge des statues des apôtres de Notre-Dame, mais aussi les ateliers Férignac, une entreprise du patrimoine vivant, spécialiste de la restauration de charpentes anciennes, de châteaux ou de cathédrales, ou les ateliers d'oeuvres de Forge, qui forment des compagnons depuis plus de quatre-vingt-dix ans. Pouvez-vous nous indiquer de quelle manière les entreprises françaises d'excellence situées en milieu rural sont ou seront associées aux réflexions et à la réalisation des travaux et comment elles pourront concourir à la formation d'apprentis et à la fabrication de pièces d'exception ?