L'ouverture au public du parvis est un objectif que nous avons tous en tête. Le niveau de plomb en surface a été très élevé et les premiers résultats des méthodes de dépollution que nous avons employées nous ont déçus. Mais nous voyons se dessiner une évolution plus vertueuse.
Précisons que le parvis n'appartient pas à l'État et que le diocèse n'en est pas affectataire : il est propriété de la Ville de Paris.
Je crois pouvoir dire que nous approchons du moment où nous allons pouvoir le rouvrir dans des conditions agréées par les spécialistes, notamment ceux de l'ARS et de la Préfecture de police. Nous voulons y installer des structures provisoires afin d'accueillir le public et installer un lieu de prière, ce qui répondrait au voeu ardent de Monseigneur Chauvet, qui, d'une certaine façon, est la grande victime de cet incendie.