C'est ce que nous vivons, c'est ce que vous vivez. Nous sommes à portée de gifles, et ce n'est pas fini. Les exactions contre les permanences de députés du groupe La République en marche ne sont pas dues au hasard.
Cela dit, madame la ministre, monsieur le ministre, je reconnais votre implication et votre volonté de gommer les irritants de la loi NOTRe. Je vais désormais limiter mon intervention à cet aspect, qui n'est certes pas un grand soir mais qui, selon l'expression de notre collègue André Chassaigne, prévoit des « petits matins » qui peuvent effectivement améliorer le quotidien des élus – lui et moi prenons l'avion ensemble tous les lundis, ce qui crée des liens et une certaine proximité en matière de montagne et de ruralité.