Nous en revenons au débat sur la limite des deux réunions par an et à cette notion de liberté à géométrie variable. La conférence des maires est un dispositif obligatoire. Je ne vois pas pour quelle raison on limiterait à deux par an le nombre de réunions pouvant se tenir à l'initiative de certains maires. Comme l'a observé M. Viala, un plus grand nombre de réunions pourrait s'avérer nécessaire, en cas de problème avec le président ou pour résoudre un contentieux. Pourquoi des modalités aussi contraignantes alors que les élus réclament de la souplesse ? Pour reprendre votre expression, monsieur le ministre, faisons confiance aux élus locaux.