La doctrine en France est en effet de distinguer entre la cyberdéfense et la cybersécurité. En effet, certaines technologies nécessaires pour protéger les infrastructures militaires ne sont pas utilisables dans les domaines civils, notamment parce qu'elle devrait être conciliée avec les droits fondamentaux comme la liberté d'expression. Certes, cyberdéfense et cybersécurité peuvent s'enrichir mutuellement, mais c'est la force de la France que de maintenir une distinction entre les deux.