Tout ce qui permettra d'adopter, à l'échelle de l'Union, un référentiel pour encadrer ces éléments de certification, à l'image de ce que l'on a fait avec le RGPD, est bienvenu. Ce sont des métiers relativement récents : entre les pratiques allemandes et françaises, par exemple, qu'il s'agisse de délais ou de gratuité, il y a des divergences. L'idée est de mettre en commun les meilleures pratiques. Il faut parvenir à garantir un niveau d'exigence suffisamment élevé pour les infrastructures, afin d'être suffisamment sereins par rapport aux menaces. À terme, en effet, si l'on peut avoir une initiative législative à l'échelon pertinent qui est celui de l'Europe, ce sera positif.