Ah, pardon… J'ai sans doute mal interprété vos propos, monsieur le rapporteur général ! En tout cas, de mon point de vue, le fait que les ONDAM précédents n'aient pas été suffisants ne rend pas le vôtre acceptable aujourd'hui. Vous avez dit que vous énonciez des faits, que vous citiez des chiffres purement factuels : permettez-moi de signaler que les miens le sont aussi. Il peut y avoir un débat politique, un débat d'interprétations et même un débat d'ambitions sur l'ONDAM mais, comme vous l'imaginez, je continuerai à m'opposer à l'article 54.