Ce problème ne date pas d'aujourd'hui ; il dure depuis longtemps et les candidats aux élections sénatoriales – et les sénateurs, bien entendu – connaissent l'ampleur qu'atteint parfois le décalage entre une sensibilité supposée et la réalité du terrain.
Sans vouloir en rajouter, je pense que les choses ne se sont pas arrangées depuis 2017. Je ne souhaite pas agiter nuitamment l'hémicycle, monsieur le président, mais j'aurais moi-même bien des difficultés à déterminer si certaines des formations politiques qui y siègent appartiennent à la majorité ou à l'opposition…