Heureusement que la HADOPI n'existait pas ! (Sourires.)
Je ne peux malheureusement rester plus longtemps avec vous, monsieur le secrétaire d'État, car j'ai d'autres obligations qui m'appellent. Je vous remercie pour votre intervention devant notre commission, et je vous quitte en confiant la présidence à mon collègue M. Mickaël Nogal.