Nous voterons bien sûr contre ce sous-amendement dont nous ne comprenons pas le sens et qui, comme l'a dit le rapporteur, rigidifie la proposition de loi qui pourtant est d'une grande modestie et dont les conséquences restent tout à fait relatives.
J'ai le sentiment que jamais la situation dans les services d'urgences n'a été aussi grave qu'aujourd'hui puisque plus de 736 d'entre eux sont en grève. C'est dire si les choses vont bien !
Enfin, vous avez raison, madame la présidente, nous sommes ici entre parlementaires pour légiférer, et la ministre pourra nous donner son avis sur ce texte la semaine prochaine dans l'hémicycle, avis qui doit peu influer sur notre raisonnement.