Cet amendement pourrait être utile à l'avenir : il vise à repousser de deux ans l'apurement de la dette sociale. Son adoption permettrait de financer un plan « hôpital » ambitieux, à la hauteur des attentes de nos concitoyens et du personnel hospitalier, ainsi qu'un plan « perte d'autonomie » pour donner une suite positive aux recommandations du rapport Libault de février 2019. Il dégagerait 5,1 milliards d'euros dès 2020.