Je me réjouis d'entendre que la Délégation aux collectivités territoriales soutient l'idée d'une parité dès le premier habitant, ce qui est en phase avec les échanges que nous avons pu avoir au sein de la Délégation aux droits des femmes avec l'Association des maires de France, l'Association des maires ruraux de France ou l'Assemblée des communautés de France.
À quoi ce seuil de 500 habitants correspond-il dans les faits ?
Enfin, dans l'amendement que nous proposons au titre de la Délégation aux droits des femmes, nous avons levé le biais constitutionnel en prévoyant un dispositif de souplesse pour les petites communes. En outre, les mesures ne seraient applicables qu'en 2026, ce qui laisse le temps de s'organiser pour constituer ces listes.