J'émets sur cet amendement un avis de sagesse, car je tiens à ce que la question ultramarine soit traitée dans le cadre de l'ordonnance. En Polynésie française et en Nouvelle-Calédonie, la commune a un statut juridique très particulier, exigeant des consultations qui ne le sont pas moins. J'insiste sur ce point : toutes les questions ultramarines, notamment celles relatives au Pacifique, méritent de faire l'objet d'une ordonnance.