Monsieur le rapporteur, il s'agit évidemment d'une question de cohérence et aussi de respect de ces populations. Il n'est bien évidemment pas question de supprimer les trois lois dont je parle de nos livres d'histoire. En revanche, il faut les rayer de notre corpus législatif parce qu'elles n'ont plus de raison d'être. De plus, elles sont abominables pour les populations vendéennes !
J'ai déposé une proposition de loi dans ce but en travaillant de concert avec des historiens vendéens, lesquels sont à l'origine de cette demande de suppression. Il est hors de question de rayer ces lois de notre histoire, au contraire ! Pour prendre un exemple tout simple, les reconstitutions organisées chaque soir d'été au Puy-du-Fou contribuent à l'enseignement de ce pan d'histoire, et il est hors de question de supprimer cela. Je voulais que les choses soient claires afin que l'on n'interprète pas mon propos : il n'est pas question pour moi de supprimer cette période de notre histoire, qui me semble intéressante à étudier, mais de rayer ces lois de notre corpus législatif.