Je tiens à insister sur le fait que, dans ma circonscription, comme dans d'autres probablement, beaucoup d'associations se plaignent car, depuis la suppression de la réserve parlementaire, elles n'obtiennent plus rien et sont obligées de se tourner vers les collectivités, au premier rang desquelles les communes ou les départements, sur lesquels cela fait peser une charge supplémentaire. En outre, quand elles obtiennent quelque chose, elles estiment que les montants accordés par le FDVA représentent environ un quart de ce qu'elles pouvaient obtenir précédemment.
Il m'a fallu de longs mois de bataille pour obtenir de la préfecture des chiffres me permettant d'évaluer la situation de façon plus ou moins empirique, et il est vrai que, pour les deux premières années, ces chiffres sont très alarmants pour l'ouest du département, priorité étant toujours donnée aux associations montpelliéraines.
Cet amendement n'a donc rien de théorique, il a pour objectif de fournir des réponses aux questions que m'adressent, sur le terrain, les associations.