Dans les scénarios qui sont proposés depuis plusieurs années, nous avons beaucoup travaillé – même si nous n'étions parfaitement pas au point au moment de l'incendie Lubrizol – sur la gestion de crise et sur la culture du risque. Les scénarios qui sont proposés ne sont toutefois pas faits pour provoquer des psychoses. Nous n'avons jamais eu de scénario de type EPR de Flamanville, mais plutôt une tempête qui arrive et donc une mise en confinement très rapide des élèves, un accident routier avec une toxicité de l'air qui en résulte et des périmètres parfois compliqués. Mais cela n'a jamais été aussi compliqué que lors de l'incendie de l'usine Lubrizol.