Je soutiens l'amendement de suppression de mes collègues.
On ne peut nous reprocher de ne pas être responsables. Nous sommes tous ici élus de la nation et conscients, comme l'a dit Mme Verdier-Jouclas, de notre responsabilité en matière de prévention. Cependant, cette taxe extrêmement élevée risque de fragiliser une filière de façon brutale, comme l'ont bien expliqué mes collègues, et vous ne pouvez pas en mesurer l'ensemble des effets. Pourquoi ne pas réaliser un travail sérieux, comme cela a été proposé, en concertation avec les filières et les entreprises concernées, pour anticiper ces difficultés et répondre à l'enjeu de prévention sans détruire des emplois ni jeter l'opprobre, comme vous le faites malgré tout, sur la filière vitivinicole ?