mais aussi l'accès aux dispositifs médicaux innovants, par le biais de l'instauration d'un accès précoce, comme il existe pour les médicaments. Il permet également d'améliorer l'accès aux soins pour les enfants, grâce à plusieurs mesures de renforcement des moyens d'action des centres de PMI – protection maternelle et infantile – élaborées avec Adrien Taquet, ainsi que l'élargissement à tous les enfants, y compris ceux relevant de la protection judiciaire de la jeunesse, du bilan de santé à l'entrée à l'aide sociale à l'enfance initialement proposé par le Gouvernement, et l'accès aux actes innovants, grâce à la rénovation de la procédure d'inscription des actes médicaux à la nomenclature pour permettre plus facilement leur diffusion et, surtout, leur remboursement aux assurés.
Je terminerai par quelques mots de remerciement. La discussion du PLFSS est un exercice d'endurance et, nous le constatons encore aujourd'hui avec cette lecture définitive, une route pleine d'imprévus. Je tiens à vous remercier, mesdames et messieurs les députés, pour la qualité et la sincérité des débats, que nous soyons en accord ou pas.
Je salue particulièrement le travail de la commission des affaires sociales, de sa présidente, Mme Brigitte Bourguignon, et de son rapporteur général, cher Olivier Véran, pour votre engagement et pour votre travail. Je remercie, enfin, les services de nos administrations – les administrateurs de l'Assemblée nationale et les services du ministère – qui travaillent dans des délais très contraints et sans compter leurs heures, ainsi que tous les agents, les collaborateurs, et les huissiers qui tiennent le rythme nocturne de nos débats sans faillir.