Pour ma part, je ne parlerai pas des vignerons, mais du personnel soignant, qui est à bout. Vous devez aller plus loin, madame la ministre. J'ai étudié les mesures de votre plan pour l'hôpital et ne me suis pas gêné pour donner la position de mon groupe sur celui-ci.
J'ai fait le tour des hôpitaux de ma circonscription. Le plan ne se traduit pour l'instant que par des avances de trésorerie, qui n'ont d'effet que sur l'investissement des hôpitaux ; pas du tout sur les conditions d'exercice du personnel soignant. Le mouvement actuel ne va pas s'arrêter, et il vous faudra entendre leurs revendications, d'une manière ou d'une autre. Je pense que nous y reviendrons d'ici peu.