Sur ce sujet, l'opposition – les oppositions, devrais-je dire – prennent leurs responsabilités en s'accordant sur la nécessité d'offrir à toutes les personnes mobilisées, en l'occurrence en Algérie, un statut et une reconnaissance équitables. Cette question se pose aujourd'hui, et non pas dans un, deux ou trois ans, lorsque vous ne serez plus aux affaires, ou que les personnes concernées seront décédées.
Votre approche ne peut différer selon que vous êtes en campagne, au contact des gens, ou au pouvoir : une approche humaine dans le premier cas et purement comptable dans le second.