La surcharge d'informations sur les produits textiles est une conséquence de l'obligation de tout mentionner – composition, taille, origine, entretien, etc. Ajouter de nouvelles mentions obligerait les enseignes à augmenter la dimension des étiquettes, sans amélioration de l'information pour le consommateur. Or, selon IPSOS, 74 % des Français découpent l'étiquette de leurs vêtements ou textiles. L'amendement CD132 vise à autoriser les enseignes à recourir à un support dématérialisé.