Nous proposerons donc en séance un amendement prévoyant que l'on peut y faire exception lorsque l'interdiction porte sur des produits dont l'usage nuit à la santé ou à l'environnement.
Lors de l'examen du projet de loi sur les hydrocarbures, au début de la législature, on nous opposait déjà la liberté d'entreprendre. Il faudra bien, un jour, changer cela : le droit de propriété et la liberté d'entreprendre, tels qu'ils sont inscrits aujourd'hui dans la Constitution, ne nous permettent pas de répondre aux urgences écologiques !