Je pense qu'il est toujours important de dire avec qui on a travaillé sur les amendements. Nous le faisons toujours dans nos exposés sommaires afin que ce soit très transparent.
Est-on confronté à un problème qui est seulement local ? C'est peut-être une question de modèle. Je pense, pour ma part, que l'avenir est la réutilisation et le réemploi dans le cadre du don. Les associations dont nous parlons réalisent un travail d'intérêt général. Il faudra, dans la société de demain, qu'il y ait des petites entreprises ou des petites associations actives en matière de réparation et de réemploi dans chaque quartier, au plus près des territoires. Nous devons adopter une réglementation dans ce domaine. Il faut notamment dire aux entreprises qu'elles ont une responsabilité : elles doivent aussi contribuer à faire en sorte qu'un nouveau modèle puisse naître et exister.