Il ne faut pas négliger l'empreinte carbone de l'envoi d'un courriel qui est bien connue et identifiée par l'Agence de l'environnement et de la maîtrise de l'énergie. On aurait besoin d'outils comparant l'empreinte carbone d'un courriel et celle d'une feuille A4. Je crois qu'on manque de chiffres. Prenons garde aux messages véhiculés sur le papier qui, je le rappelle, est recyclé sept fois.