Les amendements CD1601 et CD345, que la majorité a refusé de voter tout à l'heure, visaient notamment à imposer la prise en compte des critères environnementaux dans les marchés publics. L'urgence est telle, aujourd'hui, que la prise en compte de ces critères ne peut plus être une option : c'est une obligation, ne serait-ce que parce qu'en adoptant une démarche d'économie circulaire, les territoires auront la résilience nécessaire pour faire face aux pénuries de ressources à venir. Nous perdons encore du temps, hélas ! et je le déplore. Je maintiens donc mon amendement.