Je vous remercie, madame la secrétaire d'État, de cette réponse très argumentée.
Un plan de prévention existe et va même être révisé. Simplement, l'idée de désigner un chef de file est née, sur le terrain, de l'urgence à traiter les déchets. La collectivité de Corse a élaboré un plan ; le Syvadec, syndicat mixte, le met en oeuvre. Or, malgré les aides financières, le rythme de mise en oeuvre laisse à désirer, notamment dans les communes rurales à densité démographique très faible.
Par la désignation d'un chef de file, nous vous demandons de prendre en considération cette situation, pour qu'il soit possible d'aller plus vite, notamment dans le domaine de l'économie sociale et solidaire. Il s'agit uniquement d'une question de gouvernance et d'efficacité en situation d'urgence en milieu insulaire. En tout cas, un plan existe déjà.