S'il faut interdire tout produit soumis à REP, il n'en restera pas beaucoup sur le marché ! Cela étant, il faut être exigeant à l'égard de ces produits polluants et non recyclables.
Restons-en pour le moment à la position responsable de la secrétaire d'État et de notre rapporteure, quitte à avancer la date à 2023 en séance publique. Nous ne pouvons pas obliger les industriels à recycler des produits pour lesquels il n'existe pas de solution. Fixer l'échéance à 2021 revient à les placer dans une situation à laquelle ils ne pourront pas faire face. En revanche, nous pouvons étudier la possibilité d'avancer l'échéance d'une année.