Je me permets de m'inscrire en faux contre vos arguments, madame la secrétaire d'État : ce n'est pas parce qu'on crée une filière REP qu'on désorganise la filière. Au contraire, pour ma part, je considère que c'est un moyen d'accélérer le traitement des produits et, ce qui est essentiel, la prise de conscience des consommateurs. Tout ce qui est fait en faveur de la réparation et de la réparabilité va dans le bon sens.