Je regrette de ne pas avoir entendu les arguments de la rapporteure sur mon amendement : je m'en tiendrai donc aux vôtres, madame la secrétaire d'État.
Les avocats environnementalistes notamment appellent notre attention sur la nécessité de définir juridiquement les termes. Disposer d'une définition juridique de la notion de « matière première recyclée » aiderait à développer, ou à libérer – pour reprendre un verbe que vous avez utilisé, madame la secrétaire d'État – les opérations de recyclage.