L'importation des boues d'épuration est un sujet très important et l'interdire est, selon moi, une évidence. S'agissant des boues issues de nos propres stations, nous devons laisser à la filière le temps de s'organiser et de trouver un exutoire à ces 3 millions de tonnes. Je rappelle qu'elles sont composées en grande partie d'eau et qu'il est compliqué de les incinérer. Si M. Jean-Claude Leclabart devait retirer son sous-amendement, je le reprendrais à mon compte.